Adventure time : First training

Bonjour tout le monde!

Nous nous retrouvons aujourd’hui pour parler du “Welcome Training”, autrement dit, la formation d’arrivée (aussi appelée séminaire à l’arrivée). Cette formation a lieu dans les premiers mois du volontariat. Pour ma part, elle s’est déroulée à Benicàssim, à une heure en voiture de Valencia, sur la côte est du pays. 

Benicàssim est une “ville de vacances”, qui était déserte lors de notre visite. Mais c’était tout à notre avantage. Cela nous a permis de visiter la ville avec les autres volontaires quand nous avions du temps libre ; et ça nous a surtout donné l’envie d’y retourner cet été. En effet, la ville est connue pour ses nombreux festivals comme Rototom sunsplash (festival de reggae), FIB (connu pour sa musique indépendante, son théâtre, sa danse et son art), mais aussi Benicàssim Electrònic festival (festival de musique électronique et techno) et bien d’autres encore.

Une chose que j’ai omis de préciser : j’ai eu la chance d’aller à Benicàssim deux jours avant le training pour pouvoir visiter. C’est une ville entre mer et montagnes. J’ai pu profiter des alentours à mon aise ; avec assez de temps pour pouvoir imprégner en mémoire, et dans mon coeur, les différents paysages. N’ayant aucune expectative, la surprise fut totale !

Le séminaire a duré en tout cinq jours. Peut être me diriez-vous que c’est beaucoup, mais le temps est passé à vitesse lumière. (Comptez cependant une journée en moins pour le voyage!) Nous avons appris beaucoup de choses sur le Corps Européen de Solidarité (CES) et sur notre volontariat en général. Je dis en général, car beaucoup de sujets ont été abordés tels que le budget de la commission européenne, l’assurance, les organisations qui s’occupent de nous, la réflexion sur le début de notre projet et sur notre futur, la réalisation du Youthpass (compte-rendu que nous devons écrire à la fin de notre volontariat)…

D’autres activités ont été accomplies comme la promotion du volontariat dans un lycée espagnol, mais aussi la réalisation de challenges avec les gens locaux (apprendre quelques pas de flamenco, leur apprendre une musique originaire de notre pays…)

Ce « training » nous a permis d’en apprendre davantage sur la culture espagnole, mais aussi sur les autres volontaires, et sur leurs personnes. On s’est lié d’amitié en peu de temps.

Mon activité préférée : le cours d’espagnol sur la plage.


Si vous voulez une raison de plus pour aller à Benicàssim, c’est là bas que j’ai mangé la meilleure paëlla de ma vie.

À bientôt !

Texte et photos : Canelle Beuriat, Madrid, 2020